Désigne le retour flou, involontaire ou spontané d’un souvenir, souvent accompagné d’une charge émotionnelle particulière. Ce n’est pas un souvenir précis, mais plutôt une sensation, une image ou une émotion qui refait surface sans qu’on puisse toujours en identifier l’origine.

Est une photo capturant un trajet en train de trois heures et demie, trop longue pour être exposée en entier. Elle symbolise le voyage vers l’amour : immense, impossible à montrer dans sa totalité, comme certaines expériences qu’on ne peut pas pleinement saisir.

Et si l’art pouvait s’entendre autant qu’il se voit ? Ce projet fusionne peinture digitale abstraite et univers sonore personnel. Chaque page dévoile une œuvre, d’émotions brutes et d’instantanés de vie. Une immersion sensorielle où l’ouïe et la vue se répondent.

Mes autoportraits ne cherchent pas à montrer un visage, mais un état. Ils capturent des fragments de moi, entre contrôle et abandon, entre force et fragilité. À travers la lumière, la texture et le cadrage, je cherche à donner une forme visible à l’invisible, à traduire ce qui ne se dit pas.

Ce projet visuel explore l’évolution de la dépression à travers 10 peintures digitales. Chaque image est une étape, un portrait qui se détériore progressivement, jusqu’à disparaître presque entièrement dans le noir. Une descente lente, où l’effacement devient inévitable.

Ici, tout est test, recherche, instinct. Des idées brutes, des formes nouvelles, des chemins encore incertains. Chaque expérimentation est une exploration sans filet, une tentative de repousser les limites de l’image et du ressenti. Ces œuvres sont des fragments d’un processus où l’art se cherche.